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Ca se précise.

Les 12 et 13 octobre prochains, les centres socioculturels (CSC) de Poitou-Charentes seront rassemblés à Aiffres (79). L’objectif étant pour les acteurs du réseau de préparer le congrès 2013 des CSC. Ce sera pour eux l’occasion de mieux appréhender le pouvoir d’agir.
Pour mieux comprendre le terme, revenons rapidement sur ses origines. Ca va être rapide, il n’existe pas depuis très longtemps. Au début des années 70, aux États-Unis, un courant de pensée prône le renforcement du pouvoir et de la responsabilisation de chaque individu, notamment des plus pauvres. C’est Barbara Solomon qui utilise la première, l’expression « pouvoir d’agir » avec une approche psychosociale dans son livre Black empowerment* : Social work in oppressed communities.
L’encyclopédie participative Wikipédia traduit le terme Empowerment de B. Solomon par « capacité à agir » ou, plus simplement « autonomisation ». Le « pouvoir d’agir » serait alors le processus d’apprentissage grâce auquel un individu va mettre en place les moyens nécessaires pour prendre en main sa vie, qu’il s’agisse de sa vie sentimentale, sociale ou professionnelle. L’individu choisit, prend des décisions et agit en connaissance de cause.
Pascal Aubert, ancien vice-président de la fédération des centres socioculturels de France nous expliquera, les 12 et 13 octobre, en quoi les centres socioculturels peuvent entrainer ce pouvoir d’agir des populations les plus fragiles. Pour venir l’écouter, pensez à vous inscrire à partir du lundi 10 septembre auprès de la fédération ou sur le site de l’union régionale.

  • Pouvoir d’agir.

Sources : Collectif pouvoir d’agir
Plus d’informations sur les 12 et 13 octobre auprès de Georges Bray ou en consultant la plaquette des journées régionales.
Journées régionales centres socioculturels du Poitou-Charentes

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