Le vendredi 12 juillet 2013, les jeunes du centre socioculturel des Trois-Cités et leurs correspondants hongrois présentaient le bilan de leur échange interculturel. Enfants, jeunes, parents et encadrants, au total pas moins de 80 personnes, étaient réunis.
Le centre socioculturel des Trois-Cités fêtait cette année sa 8eme année d’échange avec la ville de Kecskemet en Hongrie. Un échange interculturel mené par l’Espace Jeunesse du centre, avec l’appui de Raquel, jeune espagnole en Service Volontaire Européen. Une année sur deux les jeunes français partent en Hongrie à Kecskemet où se déroule un festival de Folklore où tous les pays européens sont représentés. L’année suivante, les jeunes hongrois sont reçus à Poitiers.
Du 6 au 15 juillet 2013, c’était au tour du centre des Trois-Cités d’accueillir 17 jeunes hongrois ainsi que leurs 3 encadrants. Une longue semaine pleine de découvertes les attendaient : journée au Futuroscope, repas interculturel, visite de Poitiers, plage à Saint-Georges de Didone, grand jeu sur l’Europe, vélo-rail à Chauvigny. Ainsi que des cours de danse (hip-hop et zumba) plusieurs fois par semaine. Les jeunes hongrois étaient par ailleurs accueillis dans des familles du quartier.
Pour débuter la soirée, les discours du directeur du Centre socio-culturel des 3 Cités et du directeur de l’école hongroise partenaire furent l’occasion de rappeler l’importance de cet échange interculturel notamment grâce au partage du quotidien et à l’apprentissage de la valeur de la différence. Le remerciement mutuel s’est traduit par un échange de cadeaux.
Les jeunes ont ensuite présenté le résultat de leurs ateliers de la semaine. A commencer par l’atelier vidéo-photo, un petit montage des souvenirs de la semaine qui a suscité beaucoup de rires chez les jeunes. La présentation a continué avec les ateliers danse, hip-hop et zumba. Chaque atelier était mené par un jeune du centre qui avait créé une chorégraphie pour l’occasion et était devenue professeur de danse d’une quinzaine de jeunes.
Un bel échange interculturel qui montre que la mise en place de projets européens n’est pas une utopie. A qui le tour dans le réseau ?