Dominique Dionet fait presque partie des murs du centre socioculturel de la Case. Cela fait 23 ans qu’elle y a mis le pied pour la première fois. Avec 2 autres habitantes du canton, elle assure une sorte de co-présidence du centre.
A la fédération, elle est très engagée depuis 3 ans. A l’heure ou les administrateurs travaillent sur le projet, elle pense que c’est parce que la fédération est méconnue que les acteurs s’y impliquent peu. Faisons connaissance.
Dominique a d’abord travaillé comme animatrice au centre de loisirs de Vouillé. Puis elle a emmené les enfants en séjour. Elle leur a même préparé à manger à la cantine. « Le fait d’avoir travaillé ainsi pendant 2 ans m’a permis de bien connaitre les bénévoles et les salariés, explique t-elle. » Elle y croise les chemins de 4 directeurs. André, Pascale Decourt, Thomas Crenn et Blaise Bouchet. Ce sont ces deux derniers qui l’invitent à venir au CA fédéral.
« Je connaissais peu cette association. Mais les valeurs défendues correspondaient à celles que je porte. Aujourd’hui, je pense c’est un outils au service des centres, appuie Dominique ». Support technique donc, pour les centres socioculturels de la Vienne : une question donne lieu à 21 réponses. Mais aussi un lieu d’échange de pratiques, de mutualisation. « Nous devons être capables de nous écouter, de changer d’avis, de partager nos points de vue pour faire réseau. On doit prendre le temps d’approfondir les discussions. »
Quand on lui demande pourquoi elle s’engage, Dominique répond que ce qui lui plait, c’est de concrétiser des projets qui serviront à tous. « Au centre, nous venons de faire naitre et de voir se concrétiser le paiement en fonction du quotient familial pour les pratiques amateurs. A la fédé, depuis un peu plus d’un an nous travaillons pour que toutes les décisions soient prises collectivement pour le mieux vivre ensemble. »
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