Depuis quelques semaines, la fédération expérimente. Elle travaille avec une photographe journaliste. Dans le jargon, on parle de JRI (Journaliste reporter d’images). Celle que nous avons choisi serait plutôt RIJ (reporter d’images journaliste). Elle s’appelle Claire Marquis. Certain d’entre vous la connaissent déjà. Elle est très impliquée dans le tissus associatif poitevin. Elle a déjà écrit un article sur la réforme des rythmes éducatifs. Il parait même qu’elle a son BAFA, qu’elle a travaillé dans un centre socioculturel et à la Ligue de l’enseignement. Elle fait un peu partie de la famille, non?
Aujourd’hui, Claire est une photographe qui raconte avec des images et des mots. C’est une curieuse qui aime rencontrer les autres. « Lorsque j’arrive avec mon appareil photo, je prends le temps de discuter avec les gens, de comprendre leur activité ou leur projet, d’établir une confiance. Ils ne doivent pas avoir l’impression que je leur vole un cliché. Je m’intéresse aux personnes que je photographie et je considère la photographie comme un échange. »
Mais pourquoi une photographe dans les centres socioculturels, alors? Et bien pour montrer ce que l’on fait. Et comment on le fait. Les photos de Claire sont là pour informer, pour illustrer les quelques lignes d’un article sur notre site web. Et, cerise sur le gâteau, les photographies de la professionnelle sont justes. Elles sont cadrées. Elles sont nettes. Elles sont belles. Elles ajoutent un regard, un supplément d’âme pour informer nos adhérents.
Les 3 photos de cet article ainsi que celle de la newsletter du 08 janvier 2015, ont été prises par Claire. Si vous souhaitez en voir plus, son site se trouve par ici.